Dans une tribune publiée par Les Échos le 25 juin dernier, je reviens sur les négociations européennes relatives aux plans d'aide financière européens pour souligner la réactivité et le caractère constructif et globalement approprié des solutions proposées par les institutions européennes.
Défense de nos valeurs, de notre grand marché, de notre épargne, de nos normes, de nos standards, de nos libertés politiques, de bien d'autres avantages encore est la meilleure façon, pour le nouvel exécutif européen, d'aider l'Europe à réussir, écrit Olivier Marty. Avec la promotion de l'intérêt commun comme priorité. Lire la suite : https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/pour-reussir-leurope-doit-mettre-en-avant-ses-atouts-1162600
Dans un récent dossier de Banque & Stratégie (Revue Banque) consacré à ce sujet, je reviens aux cotés de Patrick Artus, Gilles Moëc, Nicolas Véron, Dominique Perrut, Lorène Weber et JR Léonard, et Marius Frunza, sur les dernières réformes de la zone euro engagées depuis fin 2018. J'indique que celles-ci expriment certes un consensus important
Je suis revenu début septembre, pour Télos, sur la tactique de négociations du Brexit de Boris Johnson. Jusqu’au camouflet de la Cour Supreme, elle conservait toute son efficacité. Elle indique aussi bien que le personnage est plus complexe qu’il n’y parait. Une analyse qui reste valide aujourd’hui. Lien : https://www.telos-eu.com/fr/politique-francaise-et-internationale/boris-johnson-le-joueur-qui-aime-le-risque-calcule.html
J’ai publié, jeudi 18 avril 2019, une tribune défendant le passage à la majorité qualifiée en matière fiscale en Europe. Le basculement vers un système de vote à la majorité qualifiée pour les sujets fiscaux ne fait pas consensus en Europe, regrette Olivier Marty. Les partis politiques nationaux et européens devraient s'en saisir. Les prochaines
J’ai publié, vendredi 5 avril 2019, une tribune co-écrite avec Damien Ientile sur une politique européenne industrielle suffisamment consensuelle. Lien vers le texte original : www.lesechos.fr
Le bras de fer sciemment engagé par le gouvernement italien avec « Bruxelles » sur la question des orientations budgétaires du pays pour 2019 interroge sur la réponse que devrait lui apporter l’Union européenne. Entre prudence et fermeté, le choix n’est pas aisé : une ligne dure risque de donner du grain à moudre aux populistes ; une ligne
Le congrès du Parti conservateur britannique, qui s'est tenu à Birmingham cette semaine, suscite une nouvelle volée de critiques à l'encontre de Theresa May, dont les faiblesses (manque d'autorité sur un parti divisé, indécision et inefficacité dans la conduite des négociations avec l'Union européenne, prises de position peu rassurantes) sont souvent cruellement rappelées. Pourtant, une position plus
Brexit : un accord est encore souhaitable Les épisodes récents de la négociation du « Brexit » ravivent les craintes d’une absence d’accord et donc d’une sortie sèche de ce pays de l’Union européenne. Le plan de Chequers présenté par Londres en juillet a été, à juste titre, rejeté par M. Barnier. Le gouvernement est divisé et la
Si l'UE valorisait son action sur les trois points de tension qui préoccupent les Italiens, elle pourrait amplifier les coopérations qu'ils supposent et diminuer le risque d'un scénario catastrophe. Les craintes suscitées par la crise politique et l'improbable coalition des populismes en Italie , en particulier au plan de la stabilité financière, interrogent sur la réponse
